Battle Plancha-Fat Team /Krampouz-Poul Breizh Nog 2-3-4 juin

La Fat Team de retour de 3 jours de régalade avec Team Trajectoire à Nogaro pour la prépa du DCF en compagnie du Team Poul Breizh Endurance.

Les Highlights :

- Un battle Plancha vs Krampouz épique
- Un Bouclier de Brennus
- Un organisateur qui régale avec du roulage en veux-tu en voilà
- Un rythme régul de sénateur validé pour l'endurance en gros 42 petit 43
- Des bibendums qui font guidonner
- Des réglages chassis/position validés
- Un team Poul Breizh endurance ô top de sa forme
- Une pendule scratch en 100 secondes avec le tracteur
- D'excellentes arsouilles en Mono
- Des tondeuses qui pondent des oeufs de pâques à l'ascension

et suite à un impératif professionnel, un changement de pilote au sein de l'équipe, et c'est donc Mr Laguiche qui complétera la team pour le DCF !

La suite du CR plus tard quand la fatigue se sera estompée

Y a plus qu'a assurer le D day ...

BLZ 22 a écrit:La Fat Team de retour de 3 jours de régalade avec Team Trajectoire à Nogaro pour la prépa du DCF en compagnie du Team Poul Breizh Endurance.

Les Highlights :

- Un battle Plancha vs Krampouz épique
- Un Bouclier de Brennus
- Un organisateur qui régale avec du roulage en veux-tu en voilà
- Un rythme régul de sénateur validé pour l'endurance en gros 42 petit 43
- Des bibendums qui font guidonner
- Des réglages chassis/position validés
- Un team Poul Breizh endurance ô top de sa forme
- Une pendule scratch en 100 secondes avec le tracteur
- D'excellentes arsouilles en Mono
- Des tondeuses qui pondent des oeufs de pâques à l'ascension

et suite à un impératif professionnel, un changement de pilote au sein de l'équipe, et c'est donc Mr Laguiche qui complétera la team pour le DCF !

La suite du CR plus tard quand la fatigue se sera estompée

effectivement, j ai aujourd hui meme envoyer ma demande d inscription au ducati club...
j espere que je ne subirai pas un blame.... , j ai quand meme bien preciser que je roule en KAWA!!!!

sinon, nouvelle aventure, il me tarde d y etre...

vous allez vous régaler bande de veinards !

Au départ, le désistement de Djilo pour raisons médicales (rien de grave au final) sape un moment la jovialité de ce battle à venir. En plus, la météo annonce une forte probabilité de chibrées corroborée par un départ dans les bouchons et sous une pluie qui préviendra la sècheresse pendant 3 générations. Donc après 3h de Fat Truck et sous un ciel de plus en plus clément, BLZ et moi arrivons mercredi soir vers 21h30 à bon port dans un paddock quasi désert, tant au niveau du nombre de tentes bédouines que de l’humidité. Le smile recommence alors à s’élargir.
On installe notre campement devant un box certifié inoccupé par Claude (chépa pourquoi, mais on a eu ct’éclair de lucidité d’aller demander, heureusement, on avait commencé devant un Box réservé…). On balise l’aire d’appontage du Méga Fat Bus du Poul Breizh qui débarque le lendemain.
On a juste le temps de concocter une belle plancha pour diffuser le gras dans l’atmosphère, ceci afin d’écarter l’humidité qu’on craint pour le lendemain. Ensuite, on s’isole en cabine pour une dernière nuit de repos avant l’avalanche de plaisirs du week-end.
Je suis bien motivé, et un réveil sous un ciel qui n’annonce que du bon confirme un des bienfaits de la plancha : l’éloignement des nuages.
Au briefing-déjeuner-inscription sous une foule de 20 personnes, on demande à Claude de pouvoir rouler dans deux séries en lui expliquant notre objectif de préparation au DCF. Permission accordée !!! Vraiment, c’t’orga régale toujours autant.
Donc, on prend la piste à 9h40 avec Slimo. Mise en jambonneaux entre 1’45’’ et 1’50’’, on se réveille. On n’utilisera pas notre don d’ubiquité en intermédiaire de la matinée, mais on essaiera de retrouver un rythme un peu plus véloce. A midi, je suis satisfait, j’ai déjà retrouvé mes chronos d’avec le cbr de 99. J’ai de plus en plus la banane avec la moto. A midi, on se contentera exceptionnellement, du repas de l’orga – frugal mais riche en lipides heureusement -.
Seuls bémols, le Starlane qui déconne de temps en temps, me privant de chronos en 35 chuis sûr ! Le câble de la sonde est dénudé à un endroit alors j’essaie de le caler avec des riselans n’ayant plus assez de rivets pop .
Et la caméra qui ne veut pas rester allumée => au final c’est pas un pb de connexion de piles donc HS .
BREF.
Avec Slimo, on renquille pour la première de l’aprèm avec chacun nos motos. Honnêtement, je sais plus si c’est là qu’on roule en 41 regul avec des 40, mais l’idée commence à mûrir dans mon esprit qu’il serait de bon aloi de claquer un tour en moins de 3 chiffres avant la fin du week-end.
Ceci-dit, l’objectif noumbeurre ouane est de préparer l’endurance. Première étape, se faire à la moto en ‘’condition course’’. Donc on décide de faire la deuxième série des moyens de l’aprem puis d’enquiller avec notre série juste en suivant. Je prends la RSV à BLZ et lui prend le RSV à Djilo qui nous a gentiment filé les clefs !! Merci Québégras !
Bilan, même si on s’est arrêté genre 1 min le temps que la prochaine série se lance, j’ai tenu les 40 minutes dans un rythme un peu haché avec les dépassement, mais quand même régul en 45’’ sur la fin du relais. Pas mal pour une première. J’avais quand même les bras et les adducteurs qui tremblaient sur les derniers freinages, mais ça, c’est juste le manque de lipides au bout de 40 minutes (ou de cigarettes pour BLZ).
Le freinage est bon, sans vibration. Par contre, je fais une croix définitive sur le frein arrière… dommage.
Je peux profiter du couple à bas régime pour moins tricoter les vitesses (d’autant que ce n’est pas la même souplesse de boite que le cbr). J’arrive à bien me faire aux vitesses normales, sauf quand je suis concentré pour doubler où ça m’est arrivé de me gourrer. J’ai eu aussi un faux point mort. Faudra faire attention à être franc sur les passages de rapports.
Après, la partie cycle est saine, on peut rentrer sur les freins, l’avant bouge pas quand on relâche, y’a pas de pompage à l’accèl. De mon côté, j’ai rien à y redire.

On rentre au campement, et ça tombe bien, le Poul Breizh signale son arrivée avec son klaxon de ferry. Tout le monde est prévenu, personne dans les paddocks ne dormira avant minuit.

A la barre, Rahan (Fred), cheveux gominés à l’huile de soie.
Il fait partie du Team Poul Breizh avec qui on partagera un Box au DCF dans un mois.
Il y a aussi Manu qui fait partie de l’équipage. Tout comme la Fat Team, le 3ème pilote n’est pas là.
En plus, il y a Marco et son 675 d’expo et en animateurs Junior aka Nauchman et Damien, dit ‘Pilip’ (pcq soit-disant c’est plus facile à prononcer quand on est bourré. C’est des techniques bigoudaines tout ça).
On les regarde décharger leur matos. Tout est bien huilé, le barnum est monté, les motos descendues des soutes et du Van en 20 minutes chrono. Rahan, leur dos argenté à eux nous expose, cherry on the cake, un mono 660 Yamaha qu’on lorgne déjà du coin de l’œil avec BLZ. Il paraît que ça lève en 6 !
Juste le temps pour BLZ et moi de refaire une session et Kerozen vient compléter la fine équipe désormais au complet pour le week-end. Comme d’hab, il se traîne sa remorque blindée étanche à renforts latéraux, transversaux, longitudinaux et verticaux qui font la fierté de l’horlogerie Polonaise. Il arrive quand même à en extirper son r6 avant le crépuscule. Chapeau ! Entre temps, on fait une dernière session. Et au final, je l’abrège, l’appel de la binouse étant le plus fort.
Alors là, c’est la 1ère manche du Battle. J’officie à la batterie en envoyant du steak à la plancha. Mais pas que ! des saucisses aussi, je mixe en parallèle un plein filet de frites avec notre Bomann. A la découpe des assortiments colorés, BLZ et Kerozen qui en profitent pour me ravitailler en carburant. Au final, on gagne sur décision de l’arbitre, Marco s’étant écroulé dans son pain de mie.
On ne part pas se coucher de suite pour autant et le dredi matin, le réveil est difficile. Il y a beaucoup plus de monde que le joudi donc on ne pourra pas faire de combo moyens-confirmés. C’est pas grave la qualité de roulage est excellente quand même. (N’oubliez pas de me faire penser à écrire qu’on n’a eu aucun drapeau rouge du week-end !). Mon chrono merde encore, sauf sur la fin où apparemment, j’ai trouvé un cheminement de câble de sonde qui va bien. Mais plus gênant, la chaîne de transmission devient de plus en plus critique. Je suis obligé de retendre à chaque session et j’arrive au maxi du réglage. Rahan la fera même dérailler à la main en vérifiant son état (Claude, le boss de TT me sauvera la mise avec une chaîne d’occase). J’ai aussi essayé des nouvelles pressions de slick Bridge à 2,7bars à chaud : c’est moins bien. Je m’en suis rendu compte pendant ma sieste entre la première session et la deuxième de l’aprem où je me suis revu faire claquer le pneu mais pas faire la pression… heureusement que je me suis pas gauffré à cause de ça. Sinon, j’ai encore eu un problème de frein : j’ai perdu moult crans de garde d’un coup . Heureusement, c’était à faible allure. Un défaut dans le levier. Donc voilà, la deuxième journée se termine sur du mitigé. Je finis quand même sur un beau 40’’03 en me disant que ce serait vraiment balaud d’en rester là .
Mais place à la revanche du Battle. Round 2.
Le poule breizh sort sa Krampouz et Manu est aux platines. Il envoie les crêpes au sarrasin tellement vite que j’ai l’impression de revoir le générique de Cat’s Eyes. Une complète pour la une, une totale pour la 3 ! une spéciale guéméné pour la 2… c’est la surenchère. J’ai l’impression qu’avec Slimo et Scarletsky, on va prendre la marée alors je mange les galettes deux par deux, puis trois par trois, j’en redemande ! Et puis, sur un exploit individuel, je m’empare d’un œuf et vais aplatir dans l’en-but de Junior sur une attaque éclair. Kerozen gèrera la fin du match avec des bouchées de galette sucrée pendant que Junior se nettoie la gouttière sur la selle de ma moto.
Le Brennus est déjà à Toulouse !
Le sadi matin, je me lève plus part une envie de gerber tellement je me suis régalé que par la suite d’un sommeil réparateur. Je skippe donc la première pour dissoudre le gras avec l’acidité d’une pomme Granny. Ça marche et j’attaque par la 2eme série des moyens. Ça me remet en jambes et j’enchaîne sur notre série confirmé, sans fatiguer. Je me sens tellement bien que je sens le tour en moins de cent secondes à portée. Et au bout de 3 ou 4 tours, je vois 1’10’’ en sortant du Dunlop (j’avais jamais vu mieux que 1’11’’), puis un gros 1’23’’ en sortant des S du lac (d’habitude en fin de 24). Le je me dis, y’a pas moyen que ça m’échappe. Je fais la sortie de la ferme, les yeux sur l’alfano. 39’’xx, 39’’yy… arrête toi !!!! Ouiiiiiiii 39’’81. J’en aurais presque tiré tout droit les bras levés . Je finis le tour avec une banane plus large que la visière.
Je vais pouvoir me concentrer sur les 2 derniers objectifs de cette prépa DCF : l’endurance du bonhomme et le chrono régul (objectif 44 / 45 regul en course).
Mais avant ça un petit plaisir avec l’essai SZR de Rahan. 45cv, zone rouge à 7000tr. On s’est tiré la bourre comme des gosses à la fête foraine. C’est un jouet.
Ensuite, je reprends à nouveau le RSV à BLZ et on s’apprête à rouler en intermediaire+confirmé de suite, soit 40min. En tant que gros, de style poleman, tout le monde est sceptique, et moi le premier. Ceci dit, je comprends vite que je peux garder un bon rythme en modulant les gros freinages. Je perds quelques dixièmes, mais les bras et les adducteurs prennent moins cher. Du coup, au bout des vingt minutes, je passe par la voie des stands, pas essoufflé du tout, le temps de la traverser et la série confirmé passe au vert. Je repars donc sans poser le pied. Je continue sur mes acquis et je me rends compte qu’il faudra gérer les dépassements. La concentration en plus, les freinages plus appuyés. Je vois de suite l’effet sur le physique, je commence à ouvrir la bouche. Mais au bout d’un demi tour à rythme régulier, le souffle revient. Et au bout de 40 min, je rentre au paddock. Pas fatigué du tout, mal nulle part. BLZ n’a pas eu le temps de prendre mes chronos (et il a pas l’alfano sur son RSV). Mais je sens que j’étais en dessous des 45 voir mieux. Les 20 min des débutants passent et je me dis que c’est le moment de voir ce que ça donne en refaisant de suite 40 min. Pas le temps d’y cogiter moult, j’y vais. Je suis dans ma bulle concentré sur mon rythme, je finis la session des moyens et traverse à nouveau la pit lane en me disant que l’année dernière, je ne serais même pas arrivé à tenir 10min à se rythme. A la fin de cette deuxième série de 40min, je ne fatigue toujours pas. En tout cas pas au niveau du souffle. J’ai par contre de l’engourdissement aux genoux (une furieuse envie de les étendre), et je commence quand même à avoir les triceps et les adducteurs qui manquent de force sur le freinages et les changement d’angle. Cette fois BLZ a pu me chronométrer à la fin de la série en 42/43 régul sur la fin du deuxieme relais de 40min ! J’en reviens pas moi même. Quant à la moto, j'ai pas senti de diff en passant en Mickeline slick en 16,5''.
La Fat Team sera un équipage bien homogène. Sakébon.

Epilogue: Le sadi soir, on a fait bars parallèles à Nogaro devant la finale et la victoire du Stade qui a parachevé ce week-end de pur bonheur. Avec la bagatelle d’une bonne quinzaine de tournées (de 7), on a relancé l’économie Gersoise. Faut dire que les prix pratiqués là-bas invitent à la dégustation !

En résumé, un CR centré sur moi et les performances mais je ne raterai pas une occasion de saupoudrer ce post d’anecdotes croustifondantes.

Je dédicace mes 99 secondes à Djilo qui j’espère nous reviendra vite et en forme(s) !

Kénavo

laguiche15 a écrit:
j espere que je ne subirai pas un blame.... , j ai quand meme bien preciser que je roule en KAWA!!!!

Bien joué, je lui ai fait la même et j'ai fini par un Banzaï qu'il a du apprécier.

Mon cochon, tu assures...

T'imagines avec un régime sec, comment tu te friserais les moustaches en ninety nine regul...vas y ressers toi de la salade

En tout cas, je sens que l'équipe sera au top de la motiv'

belle perf et trop bon le cr j adore , merci

bravo pour les pendules !

et le CR excellentissime aussi

ca va envoyer du lourd à la DCF

L’affaire étant lancée par notre lecteur tifosi d’Harlequin alias Fat chaffafat qui a mis la barre très haute avec son CR de haute voltige , je me lance avec ma modeste contribution.
En tout premier lieu, je regrette que Djilo n’ait pas pu y participer, sa verve provençale grasse nous a manqué...

Passons vite, sur les déboires bouchonnesques toulousains et les péripéties météorologiques du départ, nous voilà arrivés à Nogaro pour une sortie prévue il y a moult pour la prépa de notre course d’endurance DCF qui s’y déroulera un mois plus tard.
Pour pouvoir apprécier dans les meilleures conditions ce week-end de roulage, notre choix s’est porté sur l’organisateur Team Trajectoire que nous connaissons déjà très bien et ce depuis longtemps.
Celui-ci s’avère être un must et un gage de qualité de roulage stratosphérique.

La première matinée se déroule tranquillement, on prend son rythme, j’ai le temps de reprendre mes marques avec le RSV. A la dernière de la matinée, je pars devant et un inter du gros à l’entrée de l’esacargot me met un coup de fouet (comme d’hab pour moi, si je n’ai pas d’objectifs ou d’arsouille à disputer, je me cale sur un rythme de sénateur avec le coude à la portière...) et j’enquille derrière lui.
On se fait 4/5 tours ou je reste derrière, je me dépouille sur la mémère, il me met dans l’escargot (ou le RSV s’écarte de la traj si je veux passer à la même vitesse que le CBR) et dans l’enchainement des S du lacs (ou son agilité fait défaut), et je reviens dans la ferme et la courbe Roger Dubos. Une bonne bourre comme je les aime.
A la fin de la session je lui demande en quel temps on tournait, le starlane crache du 40. Je me dis que c’est impeccable ça, sauf qu’à ce rythme ça me paraît physiquement impossible de tenir un relai d’endurance. Je valide donc du 42/43 regul sur un relai.
Au cours des sessions de l’aprem, je prends le RSV que nous a gentiment laissé Djilo, c’est le dernier modèle, ça watte plus et la position est moins fatiguante au guidon mais par contre j’ai l’impression d’avoir les genoux dans le menton dessus...
Je suis donc gros qui a embarqué mon RSV pour enchainer 40 minutes de roulage non-stop.
Les vitesses sont inversées, c’est une première pour moi, je me plante 2/3 fois mais je m’y fais. On fait du 44 regul sur 40 minutes avec un gros 43 en best.
Je rassure gros quant à la fluidité de sa conduite, dans ma tête tout est ok pour ce qui suivra dans un mois.
De toutes les manières, pas de panique, on y va pour se fendre la poire, finir la course et ne pas se prendre de tôles.

Donc maintennant place au nimp !
Nos collègues du breizh pays débarquent, tellement ce sont des grandes bouches que Sonoman ne leur permettrait pas de tourner sur piste. Je vous laisse imaginer les joutes verbales à l’apéro et au repas...C’est du grand !
Junior est fière de poser pour la photo finish à côté de la tondeuse de chaffafa qu’il déclare meilleure pondeuse du week-end suite à une bataille rangée. Bourgoin nous jalouse et est déjà en train de placer ses pions au Japon !
J’en ai mal aux côtes en fin de soirée tellement j’ai rigolé.
Chaffafa se goinfre tellement de blé noir et d’andouille de Guémené, que le lendemain ce n’est pas des traces de gomme qu’il nous laisse (quoique je n’ai pas été jusqu’à vérifier...), mais des ornières qu’il creuse à chaque passage sur la piste. Parfait, la voie du 99 secondes est tout tracée !

De mon coté je joue toute la journée du lendemain en intermédiare avec le poul breizh.

Le dernier jour est réservé aux essais des différentes machines du paddock : j’enquille une session sur la tondeuse de chaff, ça fait longtemps que je n’ai pas piloté de 4 pattes, au premier tour je crois que le moulbif va me sauter à la gueule tellement ça hurle. Mais le mode d’emploi est très vite assimilé, le freinage est bon, la maniabilité est démoniaque, je fais du 44/45 sans forcer. Une très bonne machine, juste un bémol au niveau du caractère moteur complètement absent...Les prémices de la moto électrique ?
Le reste des 4 autres sessions je les enquille sur le mono de Fredo, et je m’amuse comme un gamin avec. C’est un jouet ! Tu freines au panneau 100 mètres avant l'école, tu prends la ferme en tombant un rapport sur l’élan. C’est le top, d’autant que je m’arsouille avec Marco.
Les souvenirs de tirage de bourre narrés par Fredo lorsqu’il disputait le challenge mono finissent de me mettre l’eau à la bouche. Ca doit quand même être quelque chose de s’arsouiller à plusieurs avec des bêtes comme ça !
Le week-end se termine par une victoire toulousaine sur Montpellier et une défaite collective (cette fois) du Poul Breizh et de la Fat Team devant l’anisette.

trop bon les crs!! et bravo a chaf!

sa sent la bourre d'antolgie pendant 6h
féloche pour vos chronos et votre plume

excellents CRs, bravo les gars!!!

C'est clair, c'est excellent